Jene supportais effectivement plus mon mari car j'étais très déçue. En fait, je me suis sentie très seule, totalement abandonnée. Je passais mes journées à m'occuper du bébé et de la
Quepour la personne trompée qui doit apprendre à pardonner si évidemment elle veut continuer à vivre dans son couple. Si votre couple a été victime d’une infidélité passagère (un dérapage), il est possible de gérer ce problème.
Jene supporte plus que mon mari s’attable à mes côtés comme on l’a toujours fait, j’entends tous les bruits qu’il fait quand il mange et ça me stresse Répondre. mamiedo dit : 10 mai 2019 à 8 h 53 min. Comme je comprends chez moi ça se manifeste par des crises d’angoisse – j’ai déjà fit une crise d’angoisse parce que mon mari faisait du bruit en mangeant des pêches
Fast Money. Psychologues > Aide psychologique > Questions > Je n'arrive plus à supporter mon beau-fils Bonjour, Je me permets de vous écrire car je ne supporte plus mon beau-fils qui a 12 ans, il vient chez nous un week-end sur 2 et la moitié des vacances scolaires. Quand il vient, il ne dit pas bonjour. Il est traité avec de la rispéridone pour des problèmes d'agressivité et de colère non maîtrisée. Il a tendance à s'énerver contre mon fils de 3 ans et quand il fait ça, je ne peux plus me contenir et je lui mets une fessée. J'ai honte et je me sens mal, je me dis que cela ne peut pas continuer comme cela. Que puis-je faire? Merci d'avance pour votre réponse. Quelle est votre réponse ? Réponse envoyée Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier Une erreur s'est produite Merci de réessayer plus tard Meilleure réponse 20 FÉVR. 2017 Cette réponse a été utile à 12 personnesBonsoir Emmanuelle, Je comprends votre état d'esprit et vos craintes. Un ados à la maison n'est pas facile tous le jours et si en plus il a un comportement difficile voir colérique si il est sous médicaments il doit souffrir de troubles du comportement assez graves cela peut devenir vraiment terrible. Comment faire face et surtout protéger votre enfant qui est petit et sans défenses? Je pense qu'un dialogue ouvert et calme avec son père, votre conjoint, serait important, pour établir une stratégie d'action lorsqu'il est chez vous vous êtes les adultes et vous devriez en premier essayer de comprendre comment calmer la situation. Un enfant/ados qui souffre de troubles du comportement est un être qui souffre beaucoup et à part les médicaments il y a que l'amour et l'énergie de son entourage qui puisse l'aider! Changez votre attitude personnelle, essayez de "tenir bon" de ne pas réagir aux provocations , tenir votre calme, essayez de réagir avec humour et respect. Les ados réagissent positivement à l'humour. Rapprochez vous avec le papa ,d'un thérapeute afin qu'il /elle puisse vous aider et l'aider à comprendre la colère qui le fait souffrir et qui l'empêche d'avancer! Sur le Site vous pourrez trouver des adresses de thérapeutes près de chez vous le contacter ainsi prendre RV rapidement. Bien à vous Livia Clara-Vilnat psycho-praticienne enfants/ados Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 5 réponses 21 FÉVR. 2017 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour Emmanuelle, La séparation, les familles recomposées, les gardes alternées, peuvent se passer fort bien comme donner lieu à des conflits. Depuis combien de temps vivez vous cette situation ? Comment s’est passée la séparation ? A 12 ans a t’il des velléités de jouer les durs ? Et le père, la mère, dans tout cela ? Comment cela se passe ailleurs ? Est ce à vous de sévir ? L’enfant a t’il un suivi psy en sus de son traitement ? Autant de questions à aborder dans un premier temps entre vous. Cordialement Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 21 FÉVR. 2017 Cette réponse a été utile à 2 personnesBonsoir Madame, Vous avez pris conscience que votre beau fils, avec ses comportements, fait naître en vous trop de colère et de l'agressivité..., comme celles dont il souffre lui même c'est un grand pas vers Il est évident que c'est aussi à votre mari de s'impliquer pour calmer la situation, pour imposer à son fils de vous respecter et de ne pas être agressif avec votre jeune fils. Mais... sait-il le faire sans s'énerver aussi ? Les difficultés que vous décrivez s'inscrivant dans une dynamique familiale, je vous conseille de vous faire aider en famille par une thérapeute familiale, afin de gérer vos problèmes relationnels de manière plus sereine et de permettre au jeune de 12 ans de trouver sa place chez vous. Je vous souhaite de réussir à vaincre vos appréhensions et à aider ce jeune en souffrance à aller mieux, pour le bien être de vous tous ! sp Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux 2646 réponses 7226 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 21 FÉVR. 2017 Cette réponse a été utile à 1 personnesBonjour Emmanuelle, La séparation, les familles recomposées, les gardes alternées, peuvent se passer fort bien comme donner lieu à des conflits. Depuis combien de temps vivez vous cette situation ? Comment s’est passée la séparation ? A 12 ans a t’il des velléités de jouer les durs ? Et le père, la mère, dans tout cela ? Comment cela se passe ailleurs ? Est ce à vous de sévir ? L’enfant a t’il un suivi psy en sus de son traitement ? Autant de questions à aborder dans un premier temps entre vous. Cordialement Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 20 FÉVR. 2017 Cette réponse a été utile à 4 personnesbonjour Votre beau fils est sous traitement pour gérer son agressivité, il a donc des troubles de comportement reconnus et malheureusement en tant qu'adulte vous devez vous contenir, et tenter de calmer la situation, la colère entraîne de l'agressivité Avez vous des craintes pour votre jeune fils ? Vous pouvez vous faire aider par un psy pour comprendre ce qui se passe en vous, vous sentez vous soutenue par votre mari ? Je reste disponible sur ma boite mail perso si vous souhaitez en dire plus Bien à vous Sylvie Vulliermet Psychanalyste Sexothérapeute Sylvie Vulliermet Psy sur Agde 150 réponses 280 J'aime Réalisez une thérapie en ligne Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! 20 FÉVR. 2017 Cette réponse a été utile à 5 personnesBonjour Emmanuelle, savoir ce qui motive la colère et la souffrance de votre beau-fils est important pour faire évoluer cette situation. Vous considère-t-il comme responsable de la rupture avec son père? Se sent-il délaissé au profit du nouvel enfant? A cet âge, il a du mal à contrôler sa colère et à ne pas se laisser emporter par son sentiment d'injustice. Vous êtes également débordée par votre réaction à son comportement envers votre fils. L'appel à un tiers thérapeute serait déjà une première étape pour dépassionner la situation et permettre à chacun de s'exprimer. Il faut prendre en compte les besoins et souffrances de chacun pour dialoguer d'abord et essayer de trouver une façon de vivre ensemble pendant ces moments de cohabitation. Cordialement. Catherine TUDAL. Psychologue. TUDAL Catherine Psy sur Boulogne-sur-Gesse 237 réponses 1770 J'aime Contacter Cela vous a été utile ? Merci d'avoir donné votre avis ! Expliquez votre situation à nos psychologues Faites votre demande de manière anonyme et recevez une aide psychologique en 48h. 13450psychologues 15200questions 94950réponses Cherchez parmi les questions déjà existantes Trouver des réponses parmi les 15200 questions posées sur
Télécharger l'article Télécharger l'article Il est difficile de faire face à l'alcoolisme dans un mariage. Vous pouvez avoir l'impression d'avoir perdu votre conjoint et vouloir le récupérer, quand il est en colère et presque méconnaissable. On peut devenir alcoolique quand on a des problèmes à la maison ou au travail ou à l'école à cause de la consommation d'alcool, quand on boit dans des situations à risque par exemple en conduisant, quand on a été blessé ou lorsque l'on a blessé une personne en étant ivre, quand on a essayé d'arrêter de boire sans y arriver efficacement ou quand on trouve des excuses ou ment au sujet de son alcoolisme [1] . Certes, il peut être difficile d'être mariée à un alcoolique, mais il existe quelques mesures que vous pouvez prendre pour aider votre époux et l'encourager à suivre un traitement. 1 Signalez tout abus. Parfois, les alcooliques peuvent devenir agressifs, car l'alcool est souvent associé à la violence [2] . Si votre conjoint vous frappe, vous menace ou vous fait du mal de quelque façon que ce soit, trouvez un refuge et dénoncez-le. Ne le protégez pas en gardant cela secret. Dites-le à votre mère ou à votre père, à votre sœur, à votre voisin, à votre meilleure amie ou à un guide spirituel. Accordez toujours la priorité à votre sécurité. Vous pouvez vous faire aider en appelant un service d'assistance téléphonique en cas de violence conjugale. France appelez SOS femme violence conjugale au 39 - 19. Belgique appelez le Centre de prévention des violences conjugales et familiales au numéro 02 539 27 44. Canada appelez SOS violence conjugale au 1 800 363-9010. Autres pays visitez cette page pour trouver une liste mondiale de lignes d'assistance téléphonique et de centres de secours d'urgence. 2 Approchez-le d'une manière non menaçante. Gardez une intonation de voix normale et parlez-lui sans utiliser des propos sévères ou désobligeants [3] . Par exemple, évitez de le traiter d' ivrogne » ou d'alcoolique sur le moment. Évitez de vous quereller et parlez plutôt d'une manière calme et affirmative. Si votre conjoint commence à se mettre en colère ou à vouloir se battre, dites-lui calmement que ce n'est pas le bon moment et que vous pourrez en reparler plus tard. Évitez à tout prix de vous quereller. Il pourrait vous attaquer physiquement. Ne répondez pas en étant en colère, même si c'est difficile à faire. 3 Offrez-lui des boissons sans alcool et de la nourriture. Plutôt que de le dissuader de consommer de l'alcool, donnez-lui de la nourriture et des boissons sans alcool [4] . Encouragez-le à manger ou à s'hydrater avec de l'eau. Distrayez-le avec cela pour qu'il soit moins tenté de boire de l'alcool. S'il vous demande de le servir de l'alcool, offrez-lui plutôt un soda. 4 Trouvez un compromis. S'il insiste pour avoir un verre ou pour aller quelque part, essayez de parvenir à un compromis [5] . Cela ne vaut pas la peine de vous quereller avec lui, car il n'aura pas les idées claires et vous ne voulez surtout pas aggraver la situation. Trouvez un moyen de le rendre heureux sans pour autant être malheureuse. S'il a vraiment envie de prendre de la crème glacée, mais que vous n'en avez pas, donnez-lui des bonbons ou une autre friandise. Si vous voulez sortir sous une pluie battante, dites-lui fermement qu'il pleut et qu'il peut prendre un parapluie ou rester sous une tente. 5 Fixez des limites. Si son alcoolisme vous affecte d'une façon négative, fixez des limites [6] . Dites-lui clairement que vous ne discuterez pas avec lui de la relation quand il est ivre et que vous refuserez d'essayer de résoudre quoi que ce soit s'il est sous l'influence de l'alcool. Interdisez-lui de boire à la maison ou en présence des enfants. Vous pouvez décider de ne pas rester avec lui quand il boit ou refuser de lui parler quand il est ivre. Établissez des limites en tenant compte de vos besoins personnels. Une fois que vous aurez établi des limites, faites-le savoir à votre époux et soyez sure qu'il les a bien compris. 6 Ayez un plan de secours. Si votre mari est ivre et se comporte agressivement au point que vous craignez pour votre sécurité, ayez un plan d'évasion. Envisagez d'appeler quelqu'un tard le soir qui peut vous offrir un lieu sûr où rester. Si vous avez peur de partir avec la voiture, vous pouvez vous arranger pour qu'une amie ou un parent vienne vous chercher. Dites à votre mari calmement que vous allez trouver un endroit sûr pour passer la nuit et que vous reviendrez le lendemain. S'il se met en colère, dites-lui que vous pouvez discuter avec lui plus tard. De cette façon, vous donnez la priorité à votre sécurité. 1 Acceptez tout sentiment de gêne. Il est fort probable que vous vous sentiez mal à l'aise d'avoir cette discussion délicate avec votre mari. Toutefois, vous ne devriez pas laisser cette gêne vous empêcher de vous exprimer. Gardez à l'esprit que la situation que vous vivez actuellement vous met mal à l'aise [7] . Acceptez le fait que, quoi qu'il arrive, discuter de ce problème vous mettra mal à l'aise. Soyez forte et faites le pas. 2 Choisissez le bon moment pour avoir cette conversation. Il est important que vous ne démarriez pas cette discussion lorsque votre partenaire est sous l'emprise de l'alcool ou est sur le point de boire. En lieu et place, choisissez un moment où vous êtes tous deux sobres [8] . Prenez un moment pour discuter du problème pour ne pas avoir à précipiter les choses après. N'essayez pas d'aborder la question lorsque vous êtes en colère ou lorsque vous êtes bouleversée. Si vous vous sentez frustrée lorsque votre mari ouvre une canette de bière, ce n'est pas le moment idéal d'avoir cette conversation. Attendez d'être tous les deux dans un état calme et neutre avant d'entamer la discussion. Peut-être que vous devez planifier du temps pour discuter du problème. 3Parlez-lui avec compassion, ne le jugez pas. Même si vous pouvez facilement porter un jugement, vous mettre en colère et être déçue, soyez compatissante. Vous ne réprimandez pas votre mari, vous lui demandez de se faire aider, pour son propre bien et pour le mieux-être de la famille [9] . Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutiendrez et vous souciez de lui. 4 Dites-lui à quel point son problème vous affecte. Vous pourriez avoir l'impression d'être un second choix lorsqu'il se tourne vers l'alcool avant vous. Vous pouvez même avoir l'impression de ne pas pouvoir rivaliser avec cette relation que votre conjoint entretient avec l'alcool [10] . Bien qu'il puisse subvenir aux besoins financiers de votre famille, si vous avez l'impression qu'il ne vous soutient pas ou la famille suffisamment sur le plan affectif, dites-le-lui. Si vous avez du mal à vous sentir émotionnellement connectée, dites-le-lui aussi. Soyez honnête lorsque vous lui exprimez vos sentiments et votre déception. Dites-lui à quel point son comportement ne vous affecte pas seulement vous, mais aussi d'autres personnes, comme vos enfants, vos amis ou votre famille [11] . 5 Évitez de le blâmer. Exprimez vos sentiments au lieu de blâmer votre époux pour ses problèmes d'alcool [12] . Concentrez-vous sur vous et sur vos sentiments, pas sur lui. Au lieu de dire quelque chose comme, quand tu bois, tu es si distant », dites ceci ça me fait mal de me sentir si loin de toi, et ce lien que nous avions me manque. » Au lieu de dire quelque chose comme tu ne passes pas de temps avec les enfants », dites ceci j'ai du mal à donner aux enfants toute l'attention dont ils ont besoin et j'aimerais que tu m'aides. » 6 Demandez-lui de se faire soigner. Dites à votre mari que vous l'aimez, le soutenez et que vous souhaitez simplement qu'il soit en bonne santé et heureux. Demandez-lui de chercher un traitement pour son alcoolisme [13] . Vous pouvez lui dire qu'il est difficile de traiter l'alcoolisme sans aide et que s'il reçoit un traitement, cela vous aidera tous les deux à faire face au problème. Le traitement de l'alcoolisme permet également de faire face aux problèmes psychologiques et aux comportements de dépendance qui nuisent à une vie heureuse et épanouie. Vous devrez peut-être faire quelques recherches avant de discuter des options de traitement disponibles. Appelez votre assurance pour avoir une idée des programmes de traitement disponibles. Renseignez-vous sur les séances de thérapie individuelle ou familiale, les programmes thérapeutiques pour patients hospitalisés et externes afin de pouvoir discuter de toutes les options de traitement avec votre mari. Il est possible d'organiser une intervention psychosociale avec des amis, des membres de la famille et d'autres personnes qui se soucient de son bienêtre. Vous pouvez demander le soutien d'un spécialiste, si nécessaire. Cependant, soyez prudente, car les interventions psychosociales peuvent mettre votre mari en colère ou sur la défensive [14] . 7 Évitez de créer un plan d'action immédiatement. Votre conjoint pourrait vous dire qu'il arrêtera de boire, que ses actions néfastes ne se reproduiront plus jamais et qu'il veut changer. Tout cela pourrait être vrai, mais il se peut qu'il cherche un moyen d'éviter une conversation gênante. Créez un plan après avoir eu le temps d'assimiler tout ce qui a été dit au cours de la conversation et de réfléchir [15] . Après votre discussion initiale, planifiez un moment où vous pourrez en parler davantage, lorsque vous aurez eu le temps de réfléchir à la première conversation. Vous pouvez vous rencontrer pour discuter des mesures que vous adopterez ensemble, comme vous débarrasser des bouteilles d'alcool. 1Ne vous attendez pas à ce qu'il change du jour au lendemain. Si vous êtes contrariée après la discussion avec votre mari et n'avez pas trouvé de solution, soyez forte. Considérez vos propos, vos actions ainsi que votre soutien comme une étape importante pour faire comprendre à votre mari son problème de dépendance et l'inciter à se faire soigner [16] . Cependant, souvenez-vous que vous ne pouvez pas contrôler ses actions et que, au bout du compte, il est responsable de ses décisions. 2 Opposez-vous à son déni. Il est fréquent que les alcooliques surtout les grands consommateurs de boissons alcoolisées trouvent toujours de bonnes excuses pour leur comportement et prétendent qu'ils n'ont pas de problèmes d'alcool. Au lieu d'essayer de combattre le déni de façon rationnelle, approchez votre mari en entamant avec compassion un dialogue sur vos préoccupations [17] . S'il nie avoir un problème, dites-lui gentiment comment cette situation perturbe votre sommeil ou celui des enfants, qu'il est agressif ou méchant avec vous ou à quel point son alcoolisme vous affecte. 3Faites-lui savoir que son alcoolisme crée une distance entre vous. Si votre conjoint continue à boire même en sachant que cela vous fait souffrir, dites-lui que ses problèmes de dépendance à l'alcool interfèrent avec votre relation. Son penchant pour l'alcool affecte votre capacité à avoir une relation saine avec lui. Si vous dites de façon claire à votre époux que son alcoolisme crée de la distance dans votre relation, cela peut avoir un impact sur lui et sur vous [18] . 4 Ayez votre propre réseau de soutien. Vous devez prendre soin de vous. Il y a des gens à qui vous pouvez parler de cette situation et qui vous soutiennent. Ne gardez pas le problème de votre mari secret vous devez avoir au moins une personne à qui vous pouvez parler de vos difficultés. Il est important que vous ayez un soutien émotionnel lorsque vous faites face aux difficultés de la vie [19] . Parlez-en à vos parents, à vos frères et sœurs, à vos beaux-parents ou à vos amis. Ne vous concentrez pas uniquement sur son problème d'alcoolisme assurez-vous également de vous confier à des gens en qui vous avez confiance. 5 Déterminez si le mariage est dans votre intérêt. Si votre mari refuse de recevoir de l'aide et que vous avez de nombreux doutes quant au fait que les choses vont s'améliorer, vous devrez peut-être réfléchir à votre mariage pour savoir si sauver votre couple est ce qu'il y a de mieux pour vous. Si vous avez l'impression que son alcoolisme est plus important que la relation elle-même, il sera temps d'examiner vos options. Lorsque vous prendrez cette décision, vous devrez peut-être tenir compte de votre qualité de vie, de votre sécurité et celle de vos enfants. Posez-vous cette question quelle est ma meilleure option dans laquelle je me respecte et respecte ma famille ? » S'il est violent avec vous, faites passer votre sécurité avant toute chose. Vous méritez d'être traitée avec respect en tout temps et les alcooliques mettent rarement fin aux abus, car la violence peut devenir cyclique. 1 Évitez de boire en sa présence. Si vous buvez près de votre mari, il aura encore plus du mal à s'en sortir [20] . Évitez à tout prix de consommer de l'alcool en présence de votre conjoint. Assistez plutôt à des évènements sociaux où les boissons alcoolisées ne seront pas servies. Lorsque vous invitez des membres de votre famille ou des amis à des réceptions, dites-leur de rester sobres. Vous pourriez devoir changer un peu vos plans sociaux ou votre cercle social. Au lieu d'aller dans un bar ou de siroter du vin avec des amis, organisez plus de soirées jeux ou cinéma. Participez à des activités n'impliquant pas la consommation d'alcool. 2Demandez-lui de se renseigner sur les groupes de soutien locaux. Il existe des groupes comme Alcooliques anonymes qui aident les personnes qui souffrent d'alcoolisme. De plus, les membres importants sont toujours prêts à aider les nouveaux en leur apportant soutien et conseils. Si vous vivez en France, consultez cette page pour savoir si une réunion des Alcooliques anonymes se tient près de chez vous. 3 Rejoignez vous-même un groupe de soutien familial. Vous savez mieux que quiconque à quel point il est difficile de vivre avec un mari alcoolique. Ne préserver toute seule une famille unie avec quasiment aucune aide de votre mari peut être dur à vivre. Partager votre frustration avec d'autres personnes qui ont vécu la même situation que vous peut être un soulagement. Elles peuvent également vous soutenir et vous conseiller sur la façon d'y faire face et sur la façon dont elles ont surmonté cette période difficile. Il existe quelques groupes d'entraide qui apporte un soutien aux familles dont un membre est alcoolique. Faites une petite recherche sur Internet. 4 Envisagez une thérapie ensemble. Si votre conjoint hésite à suivre une thérapie individuelle, dites-lui que le fait de suivre une thérapie de couple serait utile pour vous deux ou que vous voulez suivre une thérapie familiale. Un thérapeute pourrait aider à faciliter la phase de récupération de votre époux et vous fournir à vous deux un soutien tout au long du processus. Vous pouvez vous faire orienter vers un psychologue par l'entremise de votre médecin traitant ou de votre assureur [21] . Vous devrez peut-être trouver un thérapeute spécialisé dans les dépendances ou l'alcoolisme. La thérapie pourrait inclure le traitement des causes sous-jacentes de la dépendance, l'apprentissage de méthodes efficace pour la gestion du stress, ainsi que les traitements médicamenteux. 5 Demandez-lui de consulter un centre de traitement. Aller dans un centre de traitement est une excellente idée pour un alcoolique avéré ou lorsque l'alcoolisme est accompagné d'un diagnostic psychiatrique comme la dépression ou l'anxiété ou d'un diagnostic médical. Il existe des programmes de traitement hospitalier et ambulatoire qui peuvent dépendre de votre couverture d'assurance [22] . Choisissez le niveau de soins qui convient le plus à votre famille et à votre conjoint. Si votre mari a subi un stress ou un traumatisme grave ou s'il souffre d'un trouble psychiatrique, un centre de traitement peut être plus approprié qu'une thérapie hebdomadaire en consultation externe. 6 Sachez qu'il peut avoir une rechute. Adoptez un plan pour faire face à toute rechute potentielle [23] . Il est fréquent que les personnes luttant contre l'alcoolisme soient enclines aux rechutes pendant le rétablissement. Mettez-vous d'accord sur un plan avec votre mari ou avec son équipe de soins pour faire face aux rechutes. Par exemple, vous pourriez l'éloigner de la situation ou appeler son thérapeute ou son mentor. 7 Soutenez votre mari. Si votre conjoint commence un traitement et fait des progrès, n'ignorez pas chaque étape franchie [24] . Si vous remarquez qu'il fait un effort, félicitez-le. Identifiez tout ce qu'il fait de positif et assurez-vous qu'il sache que vous reconnaissez ses progrès. Célébrez même les plus petits progrès. Soutenez votre mari et faites-lui savoir que vous serez avec lui tout au long du processus. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 33 044 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
Forums pour l'entourage Par Profil supprimé Posté le 02/11/2016 à 13h44 Bonjour tout le monde, Je suis en couple depuis peu. Mon partenaire boit normalement, c'est à dire qu'il consomme pour le plaisir, lors de repas ou de soirées. Il lui arrive de ne pas boire certains jours, et parfois de boire tous les jours s'il y a des occasions, mais jamais de façon excessive je ne l'ai jamais vu ivre encore.... De mon côté, ayant eu un parent alcoolique, j'ai du mal à accepter qu'il boive parfois quotidiennement, même si ce n'est qu'un verre. Cela me rend malheureuse. Nous en avons parlé très souvent, je lui ai demandé si cetait parfois possible de ne pas boire même s'il en avait l'occasion. Après avoir réfléchi longuement, il m'a dit que vu que sa consommation n'était jamais excessive, et que c'était un simple plaisir, même si quotidien par période, il ressentait ca comme une privation de liberté et estimait que je devais régler mon problème plutôt que de lui imposer cela. J'essaie de trouver l'adresse d'un psychiatre qui ferait de l'hypnose pour m'aider. Pensez vous que mon partenaire réagit correctement ? Croyez vous que je puisse passer outre ce mal-être facilement ? Est ce que, au final, je crée un problème là où il n'y en a pas ? Merci beaucoup car je me sens malheureuse et ne pourrai pas vivre ca toute une vie... Fil précédent Fil suivant 7 réponses Répondre au fil Retour
je ne supporte plus mon mari qui boit